PHOTOS D'AILLEURS

                                                              jeanclaude.savey@wanadoo.fr

Le gouffre de la combe aux Prêtres (2 novembre 2019)

Intérêt : le gouffre de la combe aux Prêtres est "la" grande classique du secteur. On évolue dans un bel environnement esthétique et aquatique. Merci à mes amis Nadine et Christian pour m'avoir fait découvrir cette petite merveille.

Description : le réseau de Francheville est la 17ème plus longue cavité naturelle de France avec plus de 28530 m de développement et une profondeur de - 170 m. Il est situé sur la commune de Francheville dans le département de la Côte-d'Or. Le réseau est accessible par 4 entrées : les gouffres du Soucy, de la Combe aux Prêtres, de la Rochotte et de Nonceuil.  Le réseau contient 67 siphons et la quasi intégralité de son développement n'est pas accessible aux non plongeurs. Seuls les gouffres de la Combe aux Prêtres et de la Rochotte permettent aux non plongeurs de visiter quelques galeries non noyées du réseau. De plus, une traversée est possible entre ces deux gouffres sans avoir besoin de franchir de siphon. Après un premier petit puits de 6 m et une vire, nous arrivons au sommet d'un beau puits d'une vingtaine de mètres. Le début est toujours de taille modeste, à l'image de la galerie précédente. Mais au niveau du premier fractionnement, il s'élargit d'un coup et la descente dans le vide devient agréable.

Equipement : une corde de 100 m permet d'équiper le premier puits de 6 m, la MC qui suit, le puits de 20 m et les éboulis. Vu le niveau raisonnable de l'eau, la combinaison néoprène ne s'impose pas.

Accès : à partir de Francheville, prendre le D103 en direction de Vernot. 1,5 km après la sortie du village, se garer à gauche dans une ancienne carrière. L’entrée du gouffre se trouve dans le front de taille de la carrière. Si vous dormez au gîte "la clairière" à Francheville (que je vous recommande en passant), allez-y à pied. JC

La Borne aux Cassots (31 octobre 2019)

Intérêt : le réseau Alain est de toute beauté. On déambule dans la rivière au fond d'un canyon.

Intérêt : le réseau Alain est de toute beauté. On déambule dans la rivière au fond d'un canyon.
Accès : à Nevy-sur-Seille, prendre la route D204 en direction de Baume-les-Messieurs, puis à gauche au premier carrefour en direction de Ladoye-sur-Seille. A 500 m du carrefour, la route passe sur un petit pont enjambant un lit de ruisseau temporaire, au-delà duquel un élargissement permet le stationnement des véhicules. La grotte se trouve quelques dizaines de mètres au-dessus du pont (sentier en rive droite du lit de ruisseau). La source captée au bord de la Seille, près du pont, est l'émergence pérenne des eaux de la grotte.
Règlementation : après des années d'interdiction ou d'accès restreint, le Comité Départemental de Spéléologie du Jura est parvenu à un accord avec la municipalité de Nevy-sur-Seille, et est désormais locataire de la cavité. Le bail de location impose que l'entrée soit fermée par une porte blindée et son accès réservé aux clubs et individuels membres de la Fédération Française de Spéléologie. Avant toute visite, pour obtenir le code d'accès, il faut présenter une demande auprès du C.D.S du Jura.
Description :
On délaissera les galeries secondaires, non décrites ici.
1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur:
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.
Equipement : nous y sommes allés sans corde. Une corde de 15 m peut être utile pour franchir un balcon exposé. Toutefois, il est possible d'effectuer une désescalade avant la vire. JC

Accès : à Nevy-sur-Seille, prendre la route D204 en direction de Baume-les-Messieurs, puis à gauche au premier carrefour en direction de Ladoye-sur-Seille. A 500 m du carrefour, la route passe sur un petit pont enjambant un lit de ruisseau temporaire, au-delà duquel un élargissement permet le stationnement des véhicules. La grotte se trouve quelques dizaines de mètres au-dessus du pont (sentier en rive droite du lit de ruisseau). La source captée au bord de la Seille, près du pont, est l'émergence pérenne des eaux de la grotte.

Réglementation : après des années d'interdiction ou d'accès restreint, le Comité Départemental de Spéléologie du Jura est parvenu à un accord avec la municipalité de Nevy-sur-Seille, et est désormais locataire de la cavité. Le bail de location impose que l'entrée soit fermée par une porte blindée et son accès réservé aux clubs et individuels membres de la Fédération Française de Spéléologie. Avant toute visite, pour obtenir le code d'accès, il faut présenter une demande auprès du C.D.S du Jura.

Equipement : nous y sommes allés sans corde. Une corde de 15 m peut être utile pour franchir un balcon exposé. Toutefois, il est possible d'effectuer une désescalade avant la vire. JC

 

La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

 

 

 

Description :
On délaissera les galeries secondaires, non décrites ici.
1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.
2) Le Collecteur, du débouché du Métro au Confluent
On remonte la rivière sur 250 m jusqu'à un siphon, dans une galerie de 10m x 10m.
En rive gauche, un affluent temporaire débouche au-dessus d'une coulée stalagmitique. Une escalade de 4m mène à une diaclase visitable sur 150m vers l'est, jusqu'à une trémie arrosée, et 100m vers l'ouest, où elle débouche dans le Grenier, vaste salle (60 x 30m) colmatée d'éboulis.
Au niveau du siphon amont de la rivière, on emprunte une vaste galerie fossile (20 x 15m) où la progression se fait sur des éboulis, et où on remarque en voûte de belles coupoles de détente. Dans l'une d'elles, on pourra voir en affleurement, à 5m de hauteur, un tronc d'arbre fossile, vieux de 180 millions d'années, pris dans la masse calcaire bajocienne. Par ailleurs, certaines parois portent de très belles fleurs de gypse.
On retrouve le cours actif au bout de 700 m. On délaissera un puits latéral de 20m, au fond duquel passe la rivière, pour la retrouver 50m plus loin au pied du Balcon, ressaut de 6m franchissable sans matériel (descendre sur des blocs rive gauche, traverser, et passer en vire sur la rive droite, au-dessus du puits où se perd la rivière).
Vers l'amont, on remonte la rivière dans une belle galerie (20 x 30m) sur 200m, jusqu'au confluent, large carrefour entre le Réseau Pourri et le Réseau Alain.
3) Le Réseau Pourri
Il débute par la galerie du Bénitier, vaste conduit semi-fossile ressemblant au collecteur. A 300m du confluent, on bute sur une trémie qui peut être contournée 150m avant par la galerie du Gypse et l'Attendrisseur, étroit boyau imposant un ramping de près de 100m sur la calcite.
On déboucha alors dans une galerie ébouleuse et argileuse de 10 x 5m en moyenne, parcourue par un ruisseau parfois décalé latéralement. Après 700m environ, les dimensions diminuent, et la galerie du Bout du Monde se termine 450m plus loin au pied d'une série de cheminées et de galeries supérieures (point haut de la grotte à +91 m), à 3250 m de l'entrée.
4) Le Réseau Alain
C'est la suite de la rivière principale, en amont du Confluent. On y accède par une vire en rive droite. On marche ensuite presqu'en permanence dans le lit sableux du ruisseau. Une série de coudes est court-circuitée par la galerie de la Neige, conduit fossile dont les parois sont revêtues de poussière de gypse.
Le cours actif bute à l'amont sur une trémie infranchissable. En aval, à 150m, on note un affluent de rive droite : c'est la galerie de la Marmite au Bois qui, comme le suggère son nom, recèle un fragment de bois fossile, visible dans la masse calcaire au sol du ruisseau, dans une marmite.
Description :
On délaissera les galeries secondaires, non décrites ici.Description

 

1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

 

 

 

 

1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.

 

 

 

 

 

 

Description :
On délaissera les galeries secondaires, non décrites ici.
1) La zone d'entrée, jusqu'au débouché du Métro dans le collecteur
La galerie fossile d'entrée a été agrandie artificiellement sur 150 m environ. A 200 m, une zone labyrinthique et temporairement noyée présente un point bas à -9 m. De là, un boyau ascendant et fortement ventilé débouche dans le Métro. C'est une galerie argileuse obstruée par un éboulis à 100 m vers le sud, et qui donne accès au collecteur à 150 m vers le nord.
2) Le Collecteur, du débouché du Métro au Confluent
On remonte la rivière sur 250 m jusqu'à un siphon, dans une galerie de 10m x 10m.
En rive gauche, un affluent temporaire débouche au-dessus d'une coulée stalagmitique. Une escalade de 4m mène à une diaclase visitable sur 150m vers l'est, jusqu'à une trémie arrosée, et 100m vers l'ouest, où elle débouche dans le Grenier, vaste salle (60 x 30m) colmatée d'éboulis.
Au niveau du siphon amont de la rivière, on emprunte une vaste galerie fossile (20 x 15m) où la progression se fait sur des éboulis, et où on remarque en voûte de belles coupoles de détente. Dans l'une d'elles, on pourra voir en affleurement, à 5m de hauteur, un tronc d'arbre fossile, vieux de 180 millions d'années, pris dans la masse calcaire bajocienne. Par ailleurs, certaines parois portent de très belles fleurs de gypse.
On retrouve le cours actif au bout de 700 m. On délaissera un puits latéral de 20m, au fond duquel passe la rivière, pour la retrouver 50m plus loin au pied du Balcon, ressaut de 6m franchissable sans matériel (descendre sur des blocs rive gauche, traverser, et passer en vire sur la rive droite, au-dessus du puits où se perd la rivière).
Vers l'amont, on remonte la rivière dans une belle galerie (20 x 30m) sur 200m, jusqu'au confluent, large carrefour entre le Réseau Pourri et le Réseau Alain.
3) Le Réseau Pourri
Il débute par la galerie du Bénitier, vaste conduit semi-fossile ressemblant au collecteur. A 300m du confluent, on bute sur une trémie qui peut être contournée 150m avant par la galerie du Gypse et l'Attendrisseur, étroit boyau imposant un ramping de près de 100m sur la calcite.
On déboucha alors dans une galerie ébouleuse et argileuse de 10 x 5m en moyenne, parcourue par un ruisseau parfois décalé latéralement. Après 700m environ, les dimensions diminuent, et la galerie du Bout du Monde se termine 450m plus loin au pied d'une série de cheminées et de galeries supérieures (point haut de la grotte à +91 m), à 3250 m de l'entrée.
4) Le Réseau Alain
C'est la suite de la rivière principale, en amont du Confluent. On y accède par une vire en rive droite. On marche ensuite presqu'en permanence dans le lit sableux du ruisseau. Une série de coudes est court-circuitée par la galerie de la Neige, conduit fossile dont les parois sont revêtues de poussière de gypse.
Le cours actif bute à l'amont sur une trémie infranchissable. En aval, à 150m, on note un affluent de rive droite : c'est la galerie de la Marmite au Bois qui, comme le suggère son nom, recèle un fragment de bois fossile, visible dans la masse calcaire au sol du ruisseau, dans une marmite.

La Lésine du Champ Guillobot (30 octobre 2019)

Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.

Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.

Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accident
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accident
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.

Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire.

Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire.

Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.

 

 

 

 

Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.

 

 

Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.
Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.
Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire. JC

 

Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.
Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.
Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire. JC

 

 

 

Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.
Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.
Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affai
Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.
Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.
Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire. 
Intérêt : la Lésine du Champ Guillobot bénéficie d'un concrétionnement exceptionnel, de grande taille, inégalé dans le Jura.
Accès : A Poligny, emprunter la route N5 en direction de Champagnole sur environ 8 km jusqu'à son intersection avec la route D24 conduisant à Besain. Au niveau de ce carrefour, prendre le chemin forestier carrossable qui s'amorce à gauche de la N5. Poursuivre ce chemin sur 700 m. Alors que le chemin se divise, suivre le chemin principal sur une centaine de mètres. Garer la voiture sur la gauche car le gouffre s'ouvre à 30 m sur la droite. Il est très facilement repérable car il est entourné d'une barrière pour éviter les accidents.
Description : Christian se charge d’équiper un beau puits de 38 mètres d’abord oblique puis plein vide. On arrive d’un seul coup au plafond d’une vaste galerie en diaclase très concrétionnée. Celle-ci est longue d’une centaine de mètres. On prend le temps de visiter et nous nous prêtons au jeu pour essayer d’en sortir quelques clichés. Les formations de calcite sont massives, parfois excentriques ou même en pile d’assiettes. On ne fera pas le réseau inférieur très étroit qui ne présente pas beaucoup d’intérêt sinon la profondeur.
Equipement : comme plusieurs fractionnements sont à équiper, une corde de 80 m fait bien l'affaire. JC

Le gouffre de Rappant (28 aôut 2019)

C'est vraiment un beau trou encore bien conservé grâce au puits d'entrée.

Le gouffre débute avec ce puits de 28 mètres
On prend pied sur un cône d'éboulis
Le gouffre débute avec ce puits de 28 mètres
On prend pied sur un cône d'éboulis.C'est vraiment un beau trou encore bien conservé grâce au puits d'entrée.

Description : d'un développement de 140 mètres pour un dénivelé de - 35 mètres, cette cavité débute par un puits de 28 mètres. Puis, on prend pied sur un cône d'éboulis.

On prend pied sur un cône d'éboulis.
La galerie devient très concrètionnée un peu plus loin.
Le gouffre débute avec ce puits de 28 mètres
On prend pied sur un cône d'éboulis

Intérêt : la base du puits donne accès à une belle galerie remontante bien concrétionnée et de beaux gours.

Accès : le gouffre de Rappant se situe près d' Aubonne, dans le Doubs. On a même pas galéré pour le trouver (en 3 minutes, on était dessus). Il est bien placé sur la carte IGN.

Equipement : une corde de 50 m est suffisante pour la MC et le puits. JC

Le gouffre des Ordons (26 août 2019)

Intérêt : le gouffre des Ordons, dans le Doubs, est une cavité que l'on ne présente plus. Elle est connue de tous les spéléos. C'est une pure merveille de la nature. A un moment, je m'aperçois que Christian et moi ne parlons plus. Nous chuchotons comme dans un cathédrale. Le lieu impose le silence et le respect. Vous l'aurez compris, c'est un de mes grands coups de coeur.

Le gouffre des Ordons est une cavité que l'on ne présente plus. Elle est connue de tous les spéléos. C'est une pure merveille de la nature. A un moment, je m'aperçois que Christian et moi ne parlons plus. Nous chuchotons comme dans un cathétrale. Le lieu impose le silence et le respect
Description : sur 150 à 200 m c' est une succession de colonnes stalagmitiques groupées ou isolées d'une grande beauté.
Equipement : de l'entrée jusqu'au fond, le gouffre est broché. Un magnifique puits de 20 m avec un rappel en fil d'araignée succède à un puits d'entrée de 7 m. Une corde de 50 m suffit à franchir ces 2 obstacles.
Accès : le gouffre des Ordons se situe sur la commune de Montrond le Chateau, à proximité du centre équestre non loin du lieu dit "les Ordons". L' entrée se trouve en forêt dans une faille étroite qui 7 m plus bas aboutit plein vide pour une verticale de  20 m. Le cheminement se fait alors dans de hautes salles, à grands volumes sans séparation.
Le gouffre des Ordons est une cavité que l'on ne présente plus. Elle est connue de tous les spéléos. C'est une pure merveille de la nature. A un moment, je m'aperçois que Christian et moi ne parlons plus. Nous chuchotons comme dans un cathétrale. Le lieu impose le silence et le respect
Description : sur 150 à 200 m c' est une succession de colonnes stalagmitiques groupées ou isolées d'une grande beauté.
Equipement : de l'entrée jusqu'au fond, le gouffre est broché. Un magnifique puits de 20 m avec un rappel en fil d'araignée succède à un puits d'entrée de 7 m. Une corde de 50 m suffit à franchir ces 2 obstacles.
Accès : le gouffre des Ordons se situe sur la commune de Montrond le Chateau, à proximité du centre équestre non loin du lieu dit "les Ordons". L' entrée se trouve en forêt dans une faille étroite qui 7 m plus bas aboutit plein vide pour une verticale de  20 m. Le cheminement se fait alors dans de hautes salles, à grands volumes sans séparation
Le gouffre des Ordons est une cavité que l'on ne présente plus. Elle est connue de tous les spéléos. C'est une pure merveille de la nature. A un moment, je m'aperçois que Christian et moi ne parlons plus. Nous chuchotons comme dans un cathétrale. Le lieu impose le silence et le respect
Description : sur 150 à 200 m c' est une succession de colonnes stalagmitiques groupées ou isolées d'une grande beauté.
Equipement : de l'entrée jusqu'au fond, le gouffre est broché. Un magnifique puits de 20 m avec un rappel en fil d'araignée succède à un puits d'entrée de 7 m. Une corde de 50 m suffit à franchir ces 2 obstacles.

Accès : le gouffre des Ordons se situe sur la commune de Montrond le Chateau, à proximité du centre équestre non loin du lieu dit "les Ordons". L' entrée se trouve en forêt dans une faille étroite qui 7 m plus bas aboutit plein vide pour une verticale de  20 m. Le cheminement se fait alors dans de hautes salles, à grands volumes sans séparation.

Intérêt: le gouffre des Ordons est une cavité que l'on ne présente plus. Elle est connue de tous les spéléos. C'est une pure merveille de la nature. A un moment, je m'aperçois que Christian et moi ne parlons plus. Nous chuchotons comme dans une cathédrale. Le lieu impose le silence et le respect.

Description : sur 150 à 200 m, c'est une succession de colonnes stalagmitiques groupées ou isolées d'une grande beauté. Le cheminement se fait alors dans de hautes salles, à grands volumes sans séparation.

Equipement : de l'entrée jusqu'au fond, le gouffre est broché. Un magnifique puits de 20 m avec un rappel en fil d'araignée succède à un puits d'entrée étroit de 7 m. Une corde de 50 m suffit à franchir ces 2 obstacles.

Accès : le gouffre des Ordons se situe sur la commune de Montrond-le-Chateau, à proximité du centre équestre non loin du lieu dit "les Ordons". L' entrée se trouve en forêt dans une faille étroite qui 7 m plus bas aboutit plein vide dans une verticale splendide de  20 m. L'arrivée au fond est pleine d'émotions. 

La grotte du Moulin des Isles (25 août 2019)

Le 25 août, avec Christian, nous étions dans le Doubs pour une première journée de spéléo. Notre choix s'est porté sur la grotte du Moulin des Isles près d'Ornans.

Description : on suit un conduit unique sur 2 km en passant par dessus ou par dessous les arches qui nous barrent la route. On s'aperçois vite que si on passe dessous, on y laisse moins d'énergie. Au fond, une voûte mouillante sévère est à franchir : il y a peu de centimètres entre l'eau et la voûte pour respirer. Une fois ce principal obstacle franchi, on enchaîne sur un ramping assez long conduisant au siphon final et à sa belle cheminée. Comptez 5 heures A/R pour y aller tranquillement.

Equipement : la néoprène est indispensable pour aller au bout en passant la sévère voûte mouillante. Autre avantage : elle permet de passer aisément sous les gours percés et d'éviter de les escalader.

Intérêt : on a pu y voir une jolie collection d'excentriques. Ce sont des concrétions ne respectant pas les lois de la pesanteur, d’où des formes les plus étranges qui soient : volutes, boucles, aiguilles, aux directions multiples et aux angles divers ... Quel est l'origine des excentriques ? Ce ne serait ni les courant d’air, ni les champs électriques ou magnétiques à l’origine de ces concrétions, mais bien la pesanteur qui leur donne une verticalité, la tension superficielle qui maintient la goutte accrochée au plafond, la pression, les forces de cristallisation qui s’exercent dans toutes les directions, les variations de débits, les impuretés de l’eau, etc. Les facteurs importants dans la formation de ces concrétions sont les arrêts et reprises de l’alimentation en eau et la présence d’impuretés. Les dernières impuretés de l’eau se déposent lorsque l’alimentation en eau s’arrête. Lors de reprise de l’écoulement, la cristallisation va reprendre en faisant un léger angle avec le cristal précédent. C'est vraiment un phénomène naturel très curieux et insolite.

Accès : contourner par le haut une propriété privée entourée de barbelés. Franchir 2 barrières par de petits escabeaux. Une fois arrivé horizontalement au bout des barbelés, longer vers le bas ces barbelés. Puis suivre à droite la base d'une barre rocheuse. Un sentier mal marqué vous conduit à l'entrée, très proche des rives de la Loue. Quand on ne connaît pas, ce peut-être une grosse galère, surtout si on a sur soi la combi néoprène et qu'il fait chaud ! J'ai testé pour vous.

Toutes ces photos ont été prises par mon binôme Christian que je profite pour remercier. JC

Intérêt : on a pu y voir une jolie collection d'excentriques. Ce sont des concrétions ne respectant pas les lois de la pesanteur, d’où des formes les plus étranges qui soient : volutes, boucles, aiguilles, aux directions multiples et aux angles divers ... Quel est l'origine des excentriques ? Ce ne serait ni les courant d’air, ni les champs électriques ou magnétiques à l’origine de ces concrétions, mais bien la pesanteur qui leur donne une verticalité, la tension superficielle qui maintient la goutte accrochée au plafond, la pression, les forces de cristallisation qui s’exercent dans toutes les directions, les variations de débits, les impuretés de l’eau, etc. Les facteurs importants dans la formation de ces concrétions sont les arrêts et reprises de l’alimentation en eau et la présence d’impuretés. Les dernières impuretés de l’eau se déposent lorsque l’alimentation en eau s’arrête. Lors de reprise de l’écoulement, la cristallisation va reprendre en faisant un léger angle avec le cristal précédent. C'est vraiment un phénomène naturel très curieux et insolite.
Description : on suit un conduit unique sur 2 km en passant par dessus ou par dessous les arches qui nous barrent la route. On s'aperçois vite que si on passe dessous, on y laisse moins d'énergie. Au fond, une voûte mouillante sévère est à franchir : il y a peu de centimètres entre le l'eau et la voûte pour respirer. Une fois ce principal obstacle franchi, on enchaîne sur un ramping assez long conduisant au siphon final et à sa belle cheminée. Comptez 5 heures A/R pour y aller tranquillement.
Equipement : la néoprène est indispensable pour aller au bout en passant la sévère voûte mouillante. Autre avantage : elle permet de passer aisément sous les gours percés et d'éviter de les escalader.
Toutes ces photos ont été prises par mon binôme Christian que je profite pour remercier. JC

 

Intérêt : on a pu y voir une jolie collection d'excentriques. Ce sont des concrétions ne respectant pas les lois de la pesanteur, d’où des formes les plus étranges qui soient : volutes, boucles, aiguilles, aux directions multiples et aux angles divers ... Quel est l'origine des excentriques ? Ce ne serait ni les courant d’air, ni les champs électriques ou magnétiques à l’origine de ces concrétions, mais bien la pesanteur qui leur donne une verticalité, la tension superficielle qui maintient la goutte accrochée au plafond, la pression, les forces de cristallisation qui s’exercent dans toutes les directions, les variations de débits, les impuretés de l’eau, etc. Les facteurs importants dans la formation de ces concrétions sont les arrêts et reprises de l’alimentation en eau et la présence d’impuretés. Les dernières impuretés de l’eau se déposent lorsque l’alimentation en eau s’arrête. Lors de reprise de l’écoulement, la cristallisation va reprendre en faisant un léger angle avec le cristal précédent. C'est vraiment un phénomène naturel très curieux et insolite.
Description : on suit un conduit unique sur 2 km en passant par dessus ou par dessous les arches qui nous barrent la route. On s'aperçois vite que si on passe dessous, on y laisse moins d'énergie. Au fond, une voûte mouillante sévère est à franchir : il y a peu de centimètres entre le l'eau et la voûte pour respirer. Une fois ce principal obstacle franchi, on enchaîne sur un ramping assez long conduisant au siphon final et à sa belle cheminée. Comptez 5 heures A/R pour y aller tranquillement.
Equipement : la néoprène est indispensable pour aller au bout en passant la sévère voûte mouillante. Autre avantage : elle permet de passer aisément sous les gours percés et d'éviter de les escalader.
Toutes ces photos ont été prises par mon binôme Christian que je profite pour remercier. JC

 

Intérêt : on a pu y voir une jolie collection d'excentriques. Ce sont des concrétions ne respectant pas les lois de la pesanteur, d’où des formes les plus étranges qui soient : volutes, boucles, aiguilles, aux directions multiples et aux angles divers ... Quel est l'origine des excentriques ? Ce ne serait ni les courant d’air, ni les champs électriques ou magnétiques à l’origine de ces concrétions, mais bien la pesanteur qui leur donne une verticalité, la tension superficielle qui maintient la goutte accrochée au plafond, la pression, les forces de cristallisation qui s’exercent dans toutes les directions, les variations de débits, les impuretés de l’eau, etc. Les facteurs importants dans la formation de ces concrétions sont les arrêts et reprises de l’alimentation en eau et la présence d’impuretés. Les dernières impuretés de l’eau se déposent lorsque l’alimentation en eau s’arrête. Lors de reprise de l’écoulement, la cristallisation va reprendre en faisant un léger angle avec le cristal précédent. C'est vraiment un phénomène naturel très curieux et insolite.
Description : on suit un conduit unique sur 2 km en passant par dessus ou par dessous les arches qui nous barrent la route. On s'aperçois vite que si on passe dessous, on y laisse moins d'énergie. Au fond, une voûte mouillante sévère est à franchir : il y a peu de centimètres entre le l'eau et la voûte pour respirer. Une fois ce principal obstacle franchi, on enchaîne sur un ramping assez long conduisant au siphon final et à sa belle cheminée. Comptez 5 heures A/R pour y aller tranquillement.
Equipement : la néoprène est indispensable pour aller au bout en passant la sévère voûte mouillante. Autre avantage : elle permet de passer aisément sous les gours percés et d'éviter de les escalader.
Toutes ces photos ont été prises par mon binôme Christian que je profite pour remercier. JC

Le réseau de la Falconnette (4 août 2019)

Eh bien, c'est y est : j'ai trouvé hier une entrée pour explorer le réseau de la Falconnette. Mon rêve : 24 km de galeries avec des étroitures, des laminoirs, 2 rivières, des gours sublimes,... Je n'ai découvert que le début et c'est vraiment très beau.

Description : de grands volumes, des concrétions géantes partout, de la couleur, des gours avec une eau bleu lagon... J'ai adoré et je pense y retourner avec mon binôme Christian qui va être fou devant tant de beautés. Si je veux avancer, il faudrait m'interdire l'appareil photo (mais ça, ce n'est pas possible) J'ajoute qu'il n'y a très peu de photos sur Internet. Etrange. 

Accès : à partir de la D1504 (altitude 367), prendre la direction d'Ordonnaz. Prendre la première route à gauche et se garer à proximité du gîte "l'Horizon". Suivre la piste carrossable. Passez un premier lacet vers la gauche puis un autre vers la droite. A 300 mètres, suivre un petit sentier discret qui part à gauche (vers le bas). 100 mètres plus loin, vous êtes devant l'entrée artificielle basse du réseau.

Equipement : il est souhaitable de s'équiper de 2 longues longes de via ferrata pour franchir les 30 derniers mètres de la galerie d'entrée. C'est très boueux, donc glissant et une glissade vous entraînerait directement en bas. C'est la seule partie où chacun se doit d'être méfiant et concentré. Une corde de 30 mètres peut également faire l'affaire car des amarrages (maillons rapides) sont en place.

Le gouffre de la Morgne (21 juillet 2019)

Pour la petite histoire, de retour à la maison, en vidant mon kit dans l'évier, je découvre un passager clandestin : une chauve-souris s'est glissée dans mon sac. Elle est plutôt mal en point. Je la dépose délicatement sur mon balcon pour qu'elle puisse sécher. Et une demi-heure plus tard elle prend son envol. C'est la première fois, et j'espère la dernière que je ramène une chauve-souris à la maison.

Description : l'entrée, d'un joli diamètre, s'équipe en partant d'un arbre à plusieurs troncs. Le puits d'entrée (P40) est plutôt terreux. Petite déception : pas de salamandre à sa base. Il débouche dans une salle assez vaste. Un couloir permet d'accéder à une nouvelle salle. Le deuxième puits (P15) s'ouvre dans le coté opposé de la salle. Un passage bas situé en hauteur donne accès à la dernière grande salle, probablement la plus belle. Le dernier puits (P13) est borgne.

Equipement : une corde de 80 m pour le premier puits, une corde de 40 m pour le second et une corde de 30 m pour le puits borgne. Il y a des broches sauf pour le puit borgne où les amarrages sont naturels (donc prendre des sangles).

Accès : à partir d'Ordonnaz, prendre la route de Lompnas. Après un virage en épingle à droite, la route arrive au sommet de la colline. A cet endroit, prendre le chemin forestier carrossable sur votre droite. Passer les deux belles pistes qui arrivent sur la gauche. Garer la voiture dans le dernier virage sur la gauche, 100 mètres avant d'atteindre une nouvelle intersection. Prendre le chemin légèrement remontant à droite. L'entrée, entourée de grillage, s'ouvre 200 mètres plus loin. 

Intérêt : Bof... A voir une fois. Rien d'exceptionnel. JC

La grotte du Crochet Supérieur (18 juillet et 3 août 2019)

Une grande classique du département de l'Ain (massif du Bugey).

L'entrée de la cavité débute par un laminoir d’une trentaine de mètres qui peut être humide dans ses premiers mètres en cas de précipitations.
Nous arrivons dans une petite salle d’où est équipée une main courante pour atteindre un ressaut de 8 mètres.
Une vire permet d’accéder au puits et au réseau supérieur qui est équipé en fixe.
L'entrée de la cavité débute par un laminoir d’une trentaine de mètres qui peut être humide dans ses premiers mètres en cas de précipitations.
Nous arrivons dans une petite salle d’où est équipée une main courante pour atteindre un ressaut de 8 mètres.
Une vire permet d’accéder au puits et au réseau supérieur qui est équipé en fixe
L'entrée de la cavité débute par un laminoir d’une trentaine de mètres qui peut être humide dans ses premiers mètres en cas de précipitations.
Nous arrivons dans une petite salle d’où est équipée une main courante pour atteindre un ressaut de 8 mètres.
Une vire permet d’accéder au puits et au réseau supérieur qui est équipé en fixe.
L'entrée de la cavité débute par un laminoir d’une trentaine de mètres qui peut être humide dans ses premiers mètres en cas de précipitations.
Nous arrivons dans une petite salle d’où est équipée une main courante pour atteindre un ressaut de 8 mètres.
Une vire permet d’accéder au puits et au réseau supérieur qui est équipé en fixeUne grande classique du département de l'Ain (massif du Bugey).

Description : après un ramping de 30 mètres qui peut être humide dans ses premiers mètres en cas de précipitations, vous serez dans l’ambiance de cette cavité explorée depuis 1936. Un puits de 8 m vous amènera dans une grande salle très concrétionnée, traversée par un ruisseau qui va se perdre en cascade dans des puits où l’eau ressort une centaine de mètres plus bas dans la vallée. Il est possible de suivre le fil de l'eau et de ressortir par la grotte du Crochet Inférieur mais cette traversée est réservée aux petits gabarits à cause d'une étroiture vraiment sévère.  A partir de la jolie salle d'entrée, suivre la conduite forcée et atteindre un puits de 12 m tranquille.  Arrivé au fond, il faut enchaîner par un puits de 30 m où la douche est obligatoire. C'est à la base de ce puits de 30 m que se trouve une méchante étroiture. Avec les combis néoprène qui nous boudinent, Christian et moi ne sommes pas parvenus à franchir l'obstacle. Et pourtant, nous voulions faire la traversée.

Accès : au hameau de Montferrand (commune de Torcieu), prendre la direction de Dorvan par une route étroite et sinueuse. Après ce hameau, se garer à droite dans un sous-bois. Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques. Prendre le premier chemin à droite qui descend (balisage jaune). Rejoindre un ruisseau et le suivre. La marche d'approche dure environ 15 minutes. Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau. Attention car l'entrée est très discrète.

Intérêt : si vous ne parvenez pas à faire la traversée, reportez-vous sur le réseau "sup / sup". A partir de la petite salle d'entrée au fond du laminoir, une vire permet d’accéder au puits et au réseau supérieur qui est équipé en fixe. Vous allez cheminer dans de beaux méandres assez étroits.

Equipement : le "sup / sup" et le premier puits de 8 m sont équipés en fixe. Il vous faudra équiper le P 12 puis le P 30. Des amarrages sont en place. La combi néoprène est bien agréable sous un P 30 bien arrosé mais comme elle a tendance à s'accrocher au rocher, elle peut empêcher de franchir l'étroiture sévère à la base du puits.

A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.

 

 

Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.

 

 

Montferrand.
Prendre la direction Dorvan. Se garer après le village, dans un sous bois.
Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques.
On peut également se garer près du silo à grain qui est sur la droite en poursuivant la route.
Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.
Passer devant une source sur la gauche.
A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.

 

 

Après l’usine Anjos Ventilation, tourner à droite en direction de Cleyzieu, Montferrand.
Prendre la direction Dorvan. Se garer après le village, dans un sous bois.
Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques.
On peut également se garer près du silo à grain qui est sur la droite en poursuivant la route.
Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.
Passer devant une source sur la gauche.
A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.

 

 

Après l’usine Anjos Ventilation, tourner à droite en direction de Cleyzieu, Montferrand.
Prendre la direction Dorvan. Se garer après le village, dans un sous bois.
Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques.
On peut également se garer près du silo à grain qui est sur la droite en poursuivant la route.
Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.
Passer devant une source sur la gauche.
A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.

 

 

Après l’usine Anjos Ventilation, tourner à droite en direction de Cleyzieu, Montferrand.
Prendre la direction Dorvan. Se garer après le village, dans un sous bois.
Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques.
On peut également se garer près du silo à grain qui est sur la droite en poursuivant la route.
Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.
Passer devant une source sur la gauche.
A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.

 

 

Après l’usine Anjos Ventilation, tourner à droite en direction de Cleyzieu, Montferrand.
Prendre la direction Dorvan. Se garer après le village, dans un sous bois.
Ne pas gêner les tracteurs et autres remorques.
On peut également se garer près du silo à grain qui est sur la droite en poursuivant la route.
Prendre le chemin qui descend (Balisage jaune).
Prendre le 1er chemin à gauche.
Passer devant une source sur la gauche.
A partir de là suivre le ruisseau.
Une petite sente mène à l’entrée de la grotte qui se situe coté gauche du ruisseau.
Marche d’approche : environ 15min.